Semaine XXV…
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Re: Semaine XXV…
LUNDI 26 JANVIER :
Cher lecteur,
Toujours sur le front de la vérité, et alors que nos rues se couvrent d’un avis de recherche de celui qui semble être Alexandre, j’apprends de source très informée l’anecdote suivante :
Au début du mois, les profilers du FBI avaient alors quatre suspects principaux dont les particularités correspondaient a celle qu’ils supposaient appartenir au tueur de flic.
L’équipe chargée de l’enquête, et ce pauvre Heifeitz en tête, décida donc de rencontrer, puis de surveiller chacun de ces quatre hommes, dont l’un d’entre eux, les experts étaient formels, était Cop Killer.
Passons sur le pitoyable détail d’Isaac Colombo suivant une thérapie pour serré de prés son suspect psychanalyste, hélas l’incompétence n’est pas une pathologie répertoriée au DSN, ou sur l’histoire d’un lieutenant un peu simplet se faisant sauter avec une lettre piégée…
Aux alentours du dix janvier, dans la banlieue de Boston, le nullissime Heifeitz, chancre des va-t-en-guerre, héros de l’Amérique du siècle dernier, Cow-boy à deux cents et sa misérable équipe de déficient mentaux ont pris le thé chez Alexandre, et après l’avoir remercié, sont partis n’emportant que son album de famille…..
Et que croyait vous qu’il arriva ?
Le lendemain, Cop Killer quitta sa maison sans difficulté, se rendit à Manhattan, et pris la vie d’un officier de police….
C’est bête à pleurer, c’est du Heifeitz…..
Va-t-on longtemps supporter qu’un flic maladroit et violent compromette la sécurité des new-yorkais parce qu’il a des appuis politiques ?
NEW YORK POST
«Si seulement on pouvait en rire !!»
«Si seulement on pouvait en rire !!»
Par Johnny Olsen,
Cher lecteur,
Toujours sur le front de la vérité, et alors que nos rues se couvrent d’un avis de recherche de celui qui semble être Alexandre, j’apprends de source très informée l’anecdote suivante :
Au début du mois, les profilers du FBI avaient alors quatre suspects principaux dont les particularités correspondaient a celle qu’ils supposaient appartenir au tueur de flic.
L’équipe chargée de l’enquête, et ce pauvre Heifeitz en tête, décida donc de rencontrer, puis de surveiller chacun de ces quatre hommes, dont l’un d’entre eux, les experts étaient formels, était Cop Killer.
Passons sur le pitoyable détail d’Isaac Colombo suivant une thérapie pour serré de prés son suspect psychanalyste, hélas l’incompétence n’est pas une pathologie répertoriée au DSN, ou sur l’histoire d’un lieutenant un peu simplet se faisant sauter avec une lettre piégée…
Non, cher lecteur, le plus grave et le plus pathétique n’est pas là….
Aux alentours du dix janvier, dans la banlieue de Boston, le nullissime Heifeitz, chancre des va-t-en-guerre, héros de l’Amérique du siècle dernier, Cow-boy à deux cents et sa misérable équipe de déficient mentaux ont pris le thé chez Alexandre, et après l’avoir remercié, sont partis n’emportant que son album de famille…..
Et que croyait vous qu’il arriva ?
Le lendemain, Cop Killer quitta sa maison sans difficulté, se rendit à Manhattan, et pris la vie d’un officier de police….
C’est bête à pleurer, c’est du Heifeitz…..
Va-t-on longtemps supporter qu’un flic maladroit et violent compromette la sécurité des new-yorkais parce qu’il a des appuis politiques ?
En attendant Alexandre court toujours…………………..
Johnny Olsen- Messages : 5
Date d'inscription : 14/10/2007
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